Formation RSE auprès de la CMA44 publié dans le Journal des Entreprises de juin 2017.
Vous souhaitez initier une démarche RSE (Responsabilité Sociétale des Entreprises) ? C’est déjà fait et vous êtes en quête de nouvelles idées ?… La Chambre des Métiers et de l’Artisanat en Loire-Atlantique
Trois ans après avoir lancé son programme d’accompagnement autour de la RSE, la Chambre des Métiers et de l’Artisanat en Loire-Atlantique accueille depuis le 18 mai une quatrième promotion et ce, jusqu’au 29 mars 2018. Dix mois pour permettre à une dizaine d’entreprises artisanales de s’acculturer au développement durable et d’en comprendre les enjeux. 40 acteurs du territoire ont déjà franchi le pas.
Parmi eux : la société Bernard Michaud et ses fils à La Limouzinière (peinture, revêtement des sols et murs, isolation par l’extérieur). « Nous faisions de la RSE sans le savoir. Nous avions donc des bases et souhaitions les développer puis les mettre en valeur », explique Éric Michaud, l’un des trois co-gérants de cette PME fraichement certifiée, reconnaissant toutefois que cette notion de RSE était quelque peu floue.
Il a donc souhaité aller plus loin dans sa réflexion avec dans l’optique de « rompre la solitude du dirigeant, de performer [ses] décisions, de développer de nouvelles actions… ». Après un diagnostic des bonnes pratiques en entreprise, cinq ateliers collectifs pour mettre en place un plan d’engagements et un accompagnement sur mesure pour sélectionner les actions les plus stratégiques, la société Bernard Michaud et ses fils en a identifié une vingtaine axées sur trois piliers : environnement, social et territorial. « Le traitement et la valorisation des déchets, c’est notre plus gros chantier ! », souligne Éric Michaud.
Des résultats probants
Lui recommande sans hésitation cette formation. « Elle nous a permis notamment de mieux structurer notre démarche, de savoir la valoriser et communiquer les résultats, tout en impliquant nos collaborateurs (15 salariés) », explique-t-il. Elle favorise aussi « les échanges conviviaux » entre chefs d’entreprises.
D’ailleurs, « la formation n’est pas une fin en soi », poursuit-il. La CMA 44 anime en effet un club, ARTICLUB RSE, via des temps de rencontres et, six mois après la formation, un retour collectif permet de faire un point sur l’état d’avancement des actions. En tout cas, chez Bernard Michaud et ses fils, tout le monde est à l’oeuvre pour faire de la RSE un levier de performance, avec des bénéfices et des économies à la clé.